Los mejores textos de los estudiantes de la Université de Nantes, aquí en "Galdós vive"

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Estudiantes InfoCom de la Université de Nantes y periodistas envían sus comentarios sobre El abuelo

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Un texto de Galdós llevado a la gran pantalla

mercredi 12 mai 2010

Rompecabezas de Benito Pérez Galdós. Traduit par Clémence Chipault









-I-
Hier comme qui dirait l’année tant de l’ère chrétienne comme qui dirait correspondante à celle-ci, où si vous préférez, au troisième millénaire et quelques de la chronologie Égyptienne, arriva ce que je vais vous raconter, l’histoire familiale que nous transmet un papyrus rédigé. C’est une histoire incompréhensible , si le lecteur ne sait pas passer des extériorités au texte écrit ; mais en se frottant les yeux en l’espace d’un siècle, ce n’est pas compliqué de découvrir le cœur de ce qu’elle contient .

Puis monsieur… je dis que ce jour ou cette après-midi ou soit cette nuit, nous allions sur les plaines de l’Égypte, dans la région qu’ils appellent Djebel Ezzrit (soyons érudits) trois personnes et un mulet. Ce dernier servait de monture à une jeune sœur qui portait dans ses bras un enfant ; a pied, à coté d’elle, marchait un vieillard grave, empoignant un bâton qui lui servait pour comme pour supporter son passé fatigant. Vite, vous reconnaissez que c’étaient des fugitifs, qui recherchait en ces terres un refuge contre les persécuteurs de l’autre pays, puis sans ne détenir plus que ce qu’il faut pour entretenir leurs forces, ils choisirent pour leurs repos en des lieux cachés, cachette de rocher solitaire ou bien fourrés denses plus fréquentés de bêtes que d’hommes.
Impossible de reproduire ici l’émotivité poétique avec l’écriture ou bien plus décrit comme tachetée de la beauté de la mère. Vous ne pouvez pas apprécier et comprendre celle-ci en imaginant la substance du lys, halée et dorée par le sol qui conserve son idéal de pureté. Du précieux bébé, je peux vous dire que c’était humainement divin et que ses yeux résumaient tout l’univers, comme si ceux-ci était la convergence entre le ciel et la terre.
Marchant, comme je vous l’ai dit, évitant les villages et s’arrêtant seulement dans les fermes de gens pauvres, pour faire l’aumône. Comme ils ne manquaient pas de bonnes âmes en cette partie du monde, ils purent avancer, non sans peine, dans leur prudente avancée, et au final ils arrivèrent à la porte d’une grande ville, de gigantesques murs et de colossales monuments, dont la vue au lointain distrait et suspendit le courage des pauvres. L’homme grave ne cessait d’examiner tant de avec une infinité de serviteurs et une file de chameaux chargés de richesses. Le papyrus ne précisait pas si ce dernier fut un compagnon des fugitifs ; mais il dit pour lui ( et ceci il ne veut pas dire que nous l’avons entendu), il reconnut qu’il était des terres qui tombent sur l’autre cote de la mer Bermeja. Ils racontèrent les peines et les travaux des voyageurs du généreux trafiquant , et ceci les hébergea dans une de ces meilleures tentes , il les régalât avec d’excellents oranges, et encouragea ses courageux abattus avec des contes et les histoires de ces voyages et aventures, que le ravissant enfant écoutait avec un grand sourire, comme les grands écoutait les enfants, quand les enfants savent lire. Au moment de dire adieu en s’assurant qu’en cette province de l’Égypte, ils devraient être considérer libre des persécutions, il remit au vieillard une poignée de pièces, et dans la main du petit enfant y déposa une d’or, reluisante avec des écritures épouvantables d’une part et d’autre. Je ne dois pas dire que ceci motiva une dispute familiale entre le vieillard et la mère, puisque ce dernier affirma qu’avec prudence et pour les prévisions économiques , il crut que la pièce était plus en sécurité dans sa poche que dans la main du petit , et la dame, resserra le poing de son fils et embrassa plusieurs fois , elle déclara que ces mains étaient un endroit sur pour garder tous les trésors du monde.
-II-
Tranquilles et joyeux, après avoir quitté le riche marchand dans les faubourgs, ils se plongèrent dans la ville, avec une ambiance des fêtes spectaculaires pour le couronnement ou le serment d’un roi, dont le nombre a été oublié ou doit être oublier par l’histoire. Sur une place, que le papyrus décrit hyperboliquement comme étant si grande d’une aux autres provinces, s’étalait de coin en coin un bazar ou un marché. Accommodant les boutiques et les baraques très voyantes et l’animation et le brouhaha qui régnait ici, ils ne peuvent pas donner une idée de la foule que dans notre civilisation nous connaissons. Ici, tissus délicieux, pierres précieuses, métaux et ivoires, médicaments, objets sans fin, fabriqués pour leur utilité ou pour le plaisir, il y a des plats des boissons des encens les narcotiques les stimulants et les poisons pour tous les gouts, la vie et la mort, la douleur et la fièvre ou l’agréable joie.
Les fugitifs avaient parcouru une partie de la fête, infatigables, et bien que le vieillard regardait un à un tous les postes, avec des yeux d’investissement utile, cherchant quelque chose pour utiliser la monnaie de l’enfant, la mère , pratiquait moins, rêvant, et touchée par une immense tendresse, elle cherchait quelque objet qui servirait a divertir l’enfant, une frivolité , en jeu pour finir, les jeux qui avaient existé dans toute les époques, et dans l’antiquité égyptienne les jeux de construction de pyramides emmêlait les enfants , avec des figurines de sphinx, des obélisques, et des crocodiles, des vipères, des serpents, des canards et des démons couronnés.
Ils ne tardèrent pas à trouver ce que la sainte mère désirait. Quelle collection de jouets ! Qui ne valait pas ce que nous connaissons de cet article intéressant, comparé avec les merveilles de l’industrie de l’époque. Ce serait peu de dire qu’en six heures, on pourrait voir tout ce que contenait les boutiques : figurines de dieux, et des hommes comme des oiseaux, des sphinx qui ne disaient pas papa et maman, des momies bon marché qui s’armaient et se désarmaient ; au final… on ne peut pas compter. Pour que personne ne se trompe, il y avait des théâtres avec des décorations de palaces et des jardins, , et des acteurs en train de lâcher le fouet ; il y avait des prêtres avec des robes blanches et des chapeaux déformés, des bœufs du troupeau d’Apis, des sifflets ornés de fleurs de Lotus, des prêtres avec des petits drapés, et des militaires en armures, des casques, des croix et des crucifix, et tout les trucs d’attaques ou de défenses qui a été inventé pour divertir grands moyens ou petits, l’art militaire de tous les siècles.

-III-
Le petit garçon était entre la femme et le vieillard donnant ses mains a l’un et a l’autre, et en adaptant sa démarche agitée et joueuse comparée a la démarche des grandes personnes.
Et en effet, bien qu’il ait un pouvoir surnaturel du prodigieux enfant, dans les bras de sa mère, il était calme, comme un petit ange, à mesure qu’il grandissait mystérieusement, sans oublier de rester enfant, il marchait avec sa démarche légère, il parlait avec rapidité et d’une langue claire. Son regard profond parfois triste, parfois gai, produisait en ceux qui les contemplaient confusion et évanouissement.
Puis lorsque l’accord entre les deux parents sur l’emploi de l’argent fut fait, ils se dirigèrent vers l’étalage de quelques bons objets qui étaient ce qu’ils désiraient. Il regardait et observait l’enfant avec attention et réflexion, et quand il semblait se décider pour quelque chose, il changeait d’avis et après une poupée, il remarquait autre chose, sans arriver a montrer une préférence pour déterminée. Son hésitation était dans un certain sens angoissante comme si quand l’enfant doutait, venait à l’idée dans toute la nature une suspension imperturbable des causes. Au final, après de longues hésitations, il parut se décider. Sa mère l’aidât a se décider : « Tu veux des soldats ? » Et le vieillard l’aidât aussi en disant : « Tu veux des anges, des prêtres, des pasteurs ? » Et sa réponse avec une grâce infini, il balbutia une réponse que si nous traduisons en notre langue, cela veut dire : « De tout, beaucoup ».
Comme les figurines étaient bon marché, ils choisirent vite une quantité de celles-ci comme une collection. Dans la précieuse collection, il y avait de « tout », selon l’heureuse expression de l’enfant ; des chefs militaires arrogants qui représentaient des célèbres militaires, Gengis Kan, Cambises, Napoléon, Anibal ; des saints et des ermites barbus, des bergers avec des fourrures et d’autres figures de la réalité.
Ils partirent heureux vers l’auberge, suivi d’une nuée d’enfants, avides de poser les mains sur un tel trésor, si grand qui se répartit dans les mains de trois étrangers. Le petit garçon portait les plus belles figurines, les serrant contre sa poitrine. A l’arrivée, la foule des enfants qui avaient grandi tout au long du chemin, entoura la propriétaire.
L’enfant de la fugitive invitât les autres enfants à jouer dans une plaine en face de l’auberge… Ils jouèrent et s’agitèrent durant un long moment qu’il ne peut pas préciser, puis c’était le jour et la nuit et dans la nuit ils arrivèrent encore et encore, qu’ils ne peuvent être compter. Le merveilleux de ce grand jeu étaient qu’ils comptaient des milliers d’enfants (un historien parle de millions), c’était l’enfant de la belle dame le plus petit, qui usait du pouvoir surnaturel que sans doute il possédait, il fit une transformation totale de tous les joueurs, changeant les têtes de chacun, sans que personne ne le remarque, de façon que les chefs militaires finissaient avec des statuts de pasteurs, et les religieux avec des statuts de militaires.
Voua auriez vu aussi bien des héros avec des bâtons, des prêtres avec des épées, des religieuses la harpe et au final tout ce qu’il y a de plus incongru que vous pourriez imaginer. Cela fait, il partagea son trésor entre la foule des enfants, qui était devenue aussi grande que le rassemblement de tous les enfants réunis des royaumes alentours.
Un enfant de l’Occident, sombre et très bavard, le touchèrent de quelques cabochards enrubannés et non de quelques guerriers sans tête.


Université de Nantes, L1.

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