Los mejores textos de los estudiantes de la Université de Nantes, aquí en "Galdós vive"

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Lettres Modernes et Info-Com

Estudiantes InfoCom de la Université de Nantes y periodistas envían sus comentarios sobre El abuelo

Estudiantes InfoCom de la Université de Nantes y periodistas envían sus comentarios sobre El abuelo
Un texto de Galdós llevado a la gran pantalla

mercredi 12 mai 2010

Rompecabezas de Benito Pérez Galdós. Traduit par Clémence Chipault









-I-
Hier comme qui dirait l’année tant de l’ère chrétienne comme qui dirait correspondante à celle-ci, où si vous préférez, au troisième millénaire et quelques de la chronologie Égyptienne, arriva ce que je vais vous raconter, l’histoire familiale que nous transmet un papyrus rédigé. C’est une histoire incompréhensible , si le lecteur ne sait pas passer des extériorités au texte écrit ; mais en se frottant les yeux en l’espace d’un siècle, ce n’est pas compliqué de découvrir le cœur de ce qu’elle contient .

Puis monsieur… je dis que ce jour ou cette après-midi ou soit cette nuit, nous allions sur les plaines de l’Égypte, dans la région qu’ils appellent Djebel Ezzrit (soyons érudits) trois personnes et un mulet. Ce dernier servait de monture à une jeune sœur qui portait dans ses bras un enfant ; a pied, à coté d’elle, marchait un vieillard grave, empoignant un bâton qui lui servait pour comme pour supporter son passé fatigant. Vite, vous reconnaissez que c’étaient des fugitifs, qui recherchait en ces terres un refuge contre les persécuteurs de l’autre pays, puis sans ne détenir plus que ce qu’il faut pour entretenir leurs forces, ils choisirent pour leurs repos en des lieux cachés, cachette de rocher solitaire ou bien fourrés denses plus fréquentés de bêtes que d’hommes.
Impossible de reproduire ici l’émotivité poétique avec l’écriture ou bien plus décrit comme tachetée de la beauté de la mère. Vous ne pouvez pas apprécier et comprendre celle-ci en imaginant la substance du lys, halée et dorée par le sol qui conserve son idéal de pureté. Du précieux bébé, je peux vous dire que c’était humainement divin et que ses yeux résumaient tout l’univers, comme si ceux-ci était la convergence entre le ciel et la terre.
Marchant, comme je vous l’ai dit, évitant les villages et s’arrêtant seulement dans les fermes de gens pauvres, pour faire l’aumône. Comme ils ne manquaient pas de bonnes âmes en cette partie du monde, ils purent avancer, non sans peine, dans leur prudente avancée, et au final ils arrivèrent à la porte d’une grande ville, de gigantesques murs et de colossales monuments, dont la vue au lointain distrait et suspendit le courage des pauvres. L’homme grave ne cessait d’examiner tant de avec une infinité de serviteurs et une file de chameaux chargés de richesses. Le papyrus ne précisait pas si ce dernier fut un compagnon des fugitifs ; mais il dit pour lui ( et ceci il ne veut pas dire que nous l’avons entendu), il reconnut qu’il était des terres qui tombent sur l’autre cote de la mer Bermeja. Ils racontèrent les peines et les travaux des voyageurs du généreux trafiquant , et ceci les hébergea dans une de ces meilleures tentes , il les régalât avec d’excellents oranges, et encouragea ses courageux abattus avec des contes et les histoires de ces voyages et aventures, que le ravissant enfant écoutait avec un grand sourire, comme les grands écoutait les enfants, quand les enfants savent lire. Au moment de dire adieu en s’assurant qu’en cette province de l’Égypte, ils devraient être considérer libre des persécutions, il remit au vieillard une poignée de pièces, et dans la main du petit enfant y déposa une d’or, reluisante avec des écritures épouvantables d’une part et d’autre. Je ne dois pas dire que ceci motiva une dispute familiale entre le vieillard et la mère, puisque ce dernier affirma qu’avec prudence et pour les prévisions économiques , il crut que la pièce était plus en sécurité dans sa poche que dans la main du petit , et la dame, resserra le poing de son fils et embrassa plusieurs fois , elle déclara que ces mains étaient un endroit sur pour garder tous les trésors du monde.
-II-
Tranquilles et joyeux, après avoir quitté le riche marchand dans les faubourgs, ils se plongèrent dans la ville, avec une ambiance des fêtes spectaculaires pour le couronnement ou le serment d’un roi, dont le nombre a été oublié ou doit être oublier par l’histoire. Sur une place, que le papyrus décrit hyperboliquement comme étant si grande d’une aux autres provinces, s’étalait de coin en coin un bazar ou un marché. Accommodant les boutiques et les baraques très voyantes et l’animation et le brouhaha qui régnait ici, ils ne peuvent pas donner une idée de la foule que dans notre civilisation nous connaissons. Ici, tissus délicieux, pierres précieuses, métaux et ivoires, médicaments, objets sans fin, fabriqués pour leur utilité ou pour le plaisir, il y a des plats des boissons des encens les narcotiques les stimulants et les poisons pour tous les gouts, la vie et la mort, la douleur et la fièvre ou l’agréable joie.
Les fugitifs avaient parcouru une partie de la fête, infatigables, et bien que le vieillard regardait un à un tous les postes, avec des yeux d’investissement utile, cherchant quelque chose pour utiliser la monnaie de l’enfant, la mère , pratiquait moins, rêvant, et touchée par une immense tendresse, elle cherchait quelque objet qui servirait a divertir l’enfant, une frivolité , en jeu pour finir, les jeux qui avaient existé dans toute les époques, et dans l’antiquité égyptienne les jeux de construction de pyramides emmêlait les enfants , avec des figurines de sphinx, des obélisques, et des crocodiles, des vipères, des serpents, des canards et des démons couronnés.
Ils ne tardèrent pas à trouver ce que la sainte mère désirait. Quelle collection de jouets ! Qui ne valait pas ce que nous connaissons de cet article intéressant, comparé avec les merveilles de l’industrie de l’époque. Ce serait peu de dire qu’en six heures, on pourrait voir tout ce que contenait les boutiques : figurines de dieux, et des hommes comme des oiseaux, des sphinx qui ne disaient pas papa et maman, des momies bon marché qui s’armaient et se désarmaient ; au final… on ne peut pas compter. Pour que personne ne se trompe, il y avait des théâtres avec des décorations de palaces et des jardins, , et des acteurs en train de lâcher le fouet ; il y avait des prêtres avec des robes blanches et des chapeaux déformés, des bœufs du troupeau d’Apis, des sifflets ornés de fleurs de Lotus, des prêtres avec des petits drapés, et des militaires en armures, des casques, des croix et des crucifix, et tout les trucs d’attaques ou de défenses qui a été inventé pour divertir grands moyens ou petits, l’art militaire de tous les siècles.

-III-
Le petit garçon était entre la femme et le vieillard donnant ses mains a l’un et a l’autre, et en adaptant sa démarche agitée et joueuse comparée a la démarche des grandes personnes.
Et en effet, bien qu’il ait un pouvoir surnaturel du prodigieux enfant, dans les bras de sa mère, il était calme, comme un petit ange, à mesure qu’il grandissait mystérieusement, sans oublier de rester enfant, il marchait avec sa démarche légère, il parlait avec rapidité et d’une langue claire. Son regard profond parfois triste, parfois gai, produisait en ceux qui les contemplaient confusion et évanouissement.
Puis lorsque l’accord entre les deux parents sur l’emploi de l’argent fut fait, ils se dirigèrent vers l’étalage de quelques bons objets qui étaient ce qu’ils désiraient. Il regardait et observait l’enfant avec attention et réflexion, et quand il semblait se décider pour quelque chose, il changeait d’avis et après une poupée, il remarquait autre chose, sans arriver a montrer une préférence pour déterminée. Son hésitation était dans un certain sens angoissante comme si quand l’enfant doutait, venait à l’idée dans toute la nature une suspension imperturbable des causes. Au final, après de longues hésitations, il parut se décider. Sa mère l’aidât a se décider : « Tu veux des soldats ? » Et le vieillard l’aidât aussi en disant : « Tu veux des anges, des prêtres, des pasteurs ? » Et sa réponse avec une grâce infini, il balbutia une réponse que si nous traduisons en notre langue, cela veut dire : « De tout, beaucoup ».
Comme les figurines étaient bon marché, ils choisirent vite une quantité de celles-ci comme une collection. Dans la précieuse collection, il y avait de « tout », selon l’heureuse expression de l’enfant ; des chefs militaires arrogants qui représentaient des célèbres militaires, Gengis Kan, Cambises, Napoléon, Anibal ; des saints et des ermites barbus, des bergers avec des fourrures et d’autres figures de la réalité.
Ils partirent heureux vers l’auberge, suivi d’une nuée d’enfants, avides de poser les mains sur un tel trésor, si grand qui se répartit dans les mains de trois étrangers. Le petit garçon portait les plus belles figurines, les serrant contre sa poitrine. A l’arrivée, la foule des enfants qui avaient grandi tout au long du chemin, entoura la propriétaire.
L’enfant de la fugitive invitât les autres enfants à jouer dans une plaine en face de l’auberge… Ils jouèrent et s’agitèrent durant un long moment qu’il ne peut pas préciser, puis c’était le jour et la nuit et dans la nuit ils arrivèrent encore et encore, qu’ils ne peuvent être compter. Le merveilleux de ce grand jeu étaient qu’ils comptaient des milliers d’enfants (un historien parle de millions), c’était l’enfant de la belle dame le plus petit, qui usait du pouvoir surnaturel que sans doute il possédait, il fit une transformation totale de tous les joueurs, changeant les têtes de chacun, sans que personne ne le remarque, de façon que les chefs militaires finissaient avec des statuts de pasteurs, et les religieux avec des statuts de militaires.
Voua auriez vu aussi bien des héros avec des bâtons, des prêtres avec des épées, des religieuses la harpe et au final tout ce qu’il y a de plus incongru que vous pourriez imaginer. Cela fait, il partagea son trésor entre la foule des enfants, qui était devenue aussi grande que le rassemblement de tous les enfants réunis des royaumes alentours.
Un enfant de l’Occident, sombre et très bavard, le touchèrent de quelques cabochards enrubannés et non de quelques guerriers sans tête.


Université de Nantes, L1.

samedi 8 mai 2010

« Le cadeau d’anniversaire »

Pendant sa fête d’anniversaire, Carmela termine d’ouvrir son cadeau et le montre à ses parents, Carmen et Chema.
- Regarde Maman ! Santi m’a offert une tortue… « C’est ce qui me manquait » pensa Carmen, mais au retour à la maison, son mari fut plus retissent…
- Je ne veux pas en entendre parler ! Et comme il venait de l’atelier, plein de crasse, Chema semblait être l’incarnation du démon. Tu dis qu’on t’en a déjà offert une, on va la jeter dans une mare, que sais-je… Je vous l’ai dit un tas de fois. Je ne veux pas d’animaux à la maison.
- Mais ce n’est pas un animal Papa ! Carmela le regarda, l’implora avec de grosses larmes et tremblantes aux bords des yeux. C’est Carlota.

Et comme c’était Carlota, elle resta. Et les premiers jours, Carmela fut une fille obnubilée par une petite tortue, qu’elle n’arrêtait pas de changer de place, jusqu’à temps qu’elle trouve un endroit aéré et chaud, où la tortue pouvait s’exposer au soleil sans que l’eau ne s’évapore. Alors, Carlota était un petit bloc verdâtre qui nageait comme une folle désorientée et qui ne parvenait pas à monter sur la rampe.

- C’est mignon, mais c’est ennuyeux. José sentencieux. C’est pourquoi il faudrait mieux un chien.

Mais c’était Carlota, et c’était ainsi, il fallait lui changer l’eau et lui donner à manger. Pour cela, Carmen assumait cette responsabilité, parmi les autres si mécaniques et quotidiennes comme préparer le petit-déjeuner tandis que le café chauffe et que le pain grille, elle s’habituait à s’occupait d’elle, à la laisser ramper sur le sol, à lui nettoyer son eau et à lui donner de la nourriture suffisante.

Et Carlota grandit. Elle apprenait à fixer la nourriture comme une pâte pour l’avaler lentement, et à lever la tête avec les yeux très ouvert quand quelqu’un la regardait. Ainsi vint l’été et ils achetèrent une cage pour l’emmener en vacances, la tortue se sentit bien pendant le voyage, Chema se mit à s’occuper d’elle pour les nuits.

- Regardez ! Il s’exclama vers la moitié du mois d’Août. Elle a appris à manger dans ma main, c’est incroyable.

Ainsi, c’est lui qui finit par être plus affecté, plus que personne d’autre, quand il entra dans la cuisine et vit Carlota en dehors de l’eau, les pattes très étirées et la tête baissée, comme morte, au milieu d’un liquide malodorant, il ne sut pas se décider entre la colère et la tristesse. Carmen dit que quelqu’un avait renversé sur la tortue du café et du ketchup et après elle sentit un énorme creux à l’estomac. José se mit à pleurer, parce que le coupable devait raconter à ses amis que le même après-midi, ils étaient venus à la maison pour le goûter, après avoir joué au football. Mais il n’y a pas eu de pleurs comme ceux de Carmela, qui s’appuya sur la table de la cuisine, et cacha sa tête entre ses bras pour pleurer seule à seule et elle ne consentit pas à se lever ni maintenant ni même pour aller dîner.

Cette nuit là, ils ont tous mal dormi. Les adultes, effrayés, ébranlés par la cruauté insensible d’un enfant de dix ans, incapable de respecter le bonheur simple et pacifique d’un petit animal tranquille et inoffensif. Si c’était un chien, pensait José avec le radical sentiment de justice, propre à son âge, ou un chat, qui leur aurait donné une bonne éraflure, mais la pauvre Carlota ne pouvait pas se défendre… Carmela ne peut pas penser à tout ça. Elle à seulement sept ans et le malheur, la méchanceté absolue, gratuite, qui n’a pas d’autres fins, pas d’autres objets que de faire du mal, n’a pas encore fait irruption dans son expérience du monde.

Clara Piffeteau - Nantes

vendredi 7 mai 2010

Le cadeau d’anniversaire

Durant sa fête d’anniversaire, Carmela venait de recevoir un cadeau et elle l’apprend à ses parents, Carmen et Chema.
-Regarde, maman ! Santi m’a offert une tortue…
« Il ne manquait plus que ça » pensa Carmen, mais en arrivant à la maison, son mari alla plus loin.
-Pas la peine de discuter ! – et comme il revenait de l’atelier, plein de poussière, Chema semblait être une incarnation du diable. Rend la. Ou jette la dans une mare, ou n’importe quoi…Je vous l’ai dit un millier de fois. Je ne veux pas d’animaux dans la maison.
- Mais ce n’est pas un animal papa !- Carmela le regardait, l’implorait avec deux grosses larmes tremblantes aux bords des yeux. C’est Carlota.
Et comme c’était Carlota, elle resta. Et les premiers jours Carmela fut une petite fille attachée à un vivarium, parce qu’elle n’arrêtait pas de le changer de place jusqu’à ce qu’elle trouve un coin ventilé et chaud, où la tortue pouvait prendre le soleil sans que l’eau ne s’évapore. Donc,Carlota était toujours une petite masse verdâtre qui nageait comme une folle désorientée et qui n’avait même pas monter à la rampe.
-Elle est jolie, mais très ennuyeuse- dit José, le fils aîné. Pour cela, ce serait mieux d’avoir un chien.

Mais c’était Carlota, et elle était là, il fallait lui changer l’eau et lui donner à manger. Pour ça, Carmen assumait cette responsabilité entre d’autres tant mécaniques que quotidiennes comme faire le petit-déjeuner, et tandis que le café montait et que le grille-pain sautait elle s’est habituée à la prendre, à la laisser courir un peu sur le sol, a lui mettre de l’eau propre et de la nourriture suffisante.
Et Carlota grandit. Elle apprit à attraper la nourriture avec une patte pour l’avaler lentement, et à lever la tête avec les yeux grands ouverts lorsque quelqu’un la regardait. Ainsi vint l’été, et ils achetèrent une gage pour l’amener en vacances, et la tortue se sentie très bien pendant le voyage, et Chema se plut à s’occuper d’elle durant les nuits.
-Regardez ! s’exclama-t-il à la mi-août. Je lui ai appris à manger dans ma main, c’est incroyable.
Pour cela, ce qui s’est passé ensuite l’a affecté plus que personne. Quand il entra dans la cuisine et vit Carlota hors de l’eau, avec les pattes très étirées et la tête baissée, comme morte au milieu d’un liquide malodorant, il ne sut pas se décider entre fureur et tristesse. Carmen dit que quelqu’un avait versé dans le vivarium du café et du ketchup, et ensuite elle sentit un nœud énorme dans son estomac.
E compter au nombre de ses amis du club qui cette même après-midi étaient entrés dans la maison pour goûter après avoir joués au football. Mais il n’y a pas eu de pleurs comme ceux de Carmela qui s’assit à la table la tête cachée dans les bras pour pleurer seule, et ne consentit pas à se lever même pas pour dîner.
Cette nuit là, tous dormirent mal Les adultes, effrayés, ébranlés par la cruauté insensible d’un enfant de dix ans incapable de respecter la joie simple et pacifique d’un petit animal, tranquille, inoffensif. Si on avait eu un chien, pensait José, avec le sentiment radical de justice propre à son âge, ou un chat qui leur aurait donné un bon coup de griffe, mais la pauvre Carlota, que ne peut pas se défendre… Carmela ne peut même pas penser. Elle a seulement sept ans, et le mal, la méchanceté absolue, gratuite, qui n’a pas d’autre fin, d’autre objectif que faire du mal, finissait de faire irruption dans son expérience du monde.

Lucie Chusseau
Marianne Decombles

jeudi 6 mai 2010

Galdós y las mujeres por Marine Durand


Durante toda su vida y su periodo de creación literaria Galdós parece como fascinado por una especie fuera de lo normal : las mujeres. Respeto a la mentalidad de su época y de su país, el autor tiene una gran sensibilidad, casi femenina, que se puede observar en diferentes elementos de sus novelas. En efecto, aunque sea un autor realista y naturalista, Galdós no describe igual la mujer que sus compañeros Zola o Dickens. Tiene una visión y una reflexión màs profunda y mas desarrollada de la mujeres que los escritores de su época. En toda su obra Galdós quiere mostrar la alma femenina porque la conoce muy bien por ser un soltero y por haber sido criado por sus dos hermanas y su madre.

Asi como lo sabemos, el siglo XIX en España es una época de cambios que divide su poblacion entre la tradición y el modernismo. Una sociedad trastornada que no deja ningún papel social prometedor a la mujer española. Una situación que parece notar Galdós, porque no olvide representar a esas victimas de la sociedad en todo lo que tienen de espléndido como de horroroso. Asi podemos preguntarnos si Galdós ve la mujer como una figura alegórica de la modernizacion que iria contra el específico patrimonio cultural de España o si la ve solamente como una especie a parte, sociológicamente y estéticamente interesante.

Entonces, de primera vista podemos notar que Galdós en sus obras, intenta poner de relieve a las mujeres de manera significativa y positiva para hacerse su portavoz. Pero lo que es problemático es que Galdós, famoso por ser un mujeriego, no se atreve en paralelo a poner de relieve todo el vicio, la mezquindad de la gente femenina. Asi parece dividido entre dos polos, el de la sensibilidad y el de la desestimación, del temor.

A lo mejor, la conciencia y el imaginario católico que dominaba en este peridodo y que condenaba la carne y asimilaba la pasión al pecado encarcelaron los escritores y la población en general en una cierta forma de catergorización del ser humano, en la que la mujer tenia una gran responsabilidad, fue muy observada.
Por ejemplo en la novela El abuelo, la Condesa Lucrecia, quien esta motivada por la pasión, tiene un comportamiento frivolo e infiel pero la manera con la que Galdós la describe atrae una cierta simpatia. Porque aun siendo frivola e infiel se muestra fuerte, franca y sincera. Su ánimo y su sensibilidad tocan a los lectores. Pero en la pelicula esa mujer, fuerte, parece ser una “salvaje noble inadaptada” fuera de la sociedad queriando marcharse, huir a Paris. Asi Galdós no es muy claro en cuanto su posicion porque se situa todavia entre la denonciacion y la comprension de las mujeres. Sus comportamientos imorales les sirve para mostrarnos las dificultades y las paradojas reales de la sociedad.

Pero, a veces nos pinta la mujer en todo lo que tiene de hypocrita y monstruoso. En El abuelo por ejemplo, la niñas del preceptor de Dolly, el maestro Pio Coronado, pegan a sus padre, le dejan sin cenar, le privan de dinero, no le quieren. Vemos asi que ciertas mujeres son naturalmente propensas o inclinadas al mal y que pueden dominar a los hombres de manera negativa. Al reves, el personaje de Benina en Misericordia está lleno de caridad, de generosidad hacia los demas, y esto no por caridad cristiana sino por pura filantropia. Al final Galdós nos una presenta a Benina casi como Jesucristo, a la misma altitud espiritual. Entonces podemos decir que intenta presentarnos una pintura fiel a la realidad social del siglo XIX.

Mas allá de este punto, es cierto que Galdós concede una plaza significativa a la educacion de la mujer en sus obras. Es uno de los autores que se interrogó mucho sobre el papel que podia desempeñar la mujer en la sociedad. Zola casi no trata de la educación femenina en sus libros por ejemplo. Describe más bien la pobreza, la decadencia de Nana en l’Assomoir o Germinal pero no se para sobre el problema social de la educación femenina. Al contrario a Galdós le interesa mucho en esta problematica. Segun Paulson, el autor estaba consciente de la situación poco favorable de la mujer en el siglo XIX frente a su desarollo social, moral e intelectual. En El abuelo, nos damos cuenta de la importancia del camino initiático de las dos chicas Mary y Dolly por ejemplo. Igual en misericordia cuando una de las mendigas dice a la pagina 23 “Yo digo la educacion es lo primero”.

No voy a retener todas las theorias de Paulson porque no he leido todas la novelas de Galdos, pero al parecer, estoy de acuerdo con uno de los puntos que desarolla: el que trata de la mujer “natural”. En efecto habla de un typo de mujer dinámica, inteligente, voluntaria, movil, quien aspira a alcanzar su plenitud en una sociedad hostil y compleja. Esas mujeres serian como una fuerza creadora y vital, Madre de la humanidad. Frente a la victima, débil y parasitaria, la mujer natural demuestra un carácter fuerte y activo lleno de vitalidad creadora. Ella representa el contrario de las valores de la mujer social (hypocresia, artificial, frivolidad) quien es el polo negativo de la sociedad española.

Pero lo que es un poco sorprendido, es que a veces las mujeres naturales son representadas como unas victimas de los hombres donjuanescos. Asi toda anda como si el dueño natural interviniera como un fuerza natural que equilibraria el caracter de la mujer. Lo que es una vision masculina un poco presuntuosas del autor. Podemos pensar que el systema galdosiano anda segun el esquema siguiente: Mujer contra Dios = Naturaleza contra el espirtu y la figura divina. Asi, quizas la mujer sirva para denunciar la debilidad de la Iglesia. Es verdad que las beatas en sus libros demuestran el carácter alienante de la religión.

Sin embargo, lo que es una vez màs estraño es que vemos, al mismo tiempo, el papel positivo de la religión, la referencia a las escenas biblicas, valores catolicas en los libros de Galdós. Las chicas dice el abuelo “son sanas de espiritu, de cupero, listas como el rayo, conocen la ley del pudor porque aun temen a dios”. Ademas, Mary que quiere ser monja es la de los ambas chicas que parece ser buena al contrario de su hermana que ya està un poco mas alerta.

Asi, quizas con el problema de la educacion Galdós quiera mostrar mas simplemente la exposicion de las mujeres a la”caida” desde una alta posicion social, como por ejemplo Doña Paca de Misericordia,y que, màs que los hombres, deben prepararse a esta caida. Podemos tambien subrayar que una de las mas famosas obseciones del autor fue el tema de la subida o de la caida en la escala social...

Por otra parte, en la obra de Galdós, tenemos la impresion de que la mujer actua como un mecanismo de subjectivacion, como un guia para el dibujo de los caracteres del resto de los protagonistas. Además, dan tambien la luz a los paysajes y a las descripciones de lugares.

Guiadas por los sentimientos y el amor, las mujeres pueden servir de prexto para pintar todas las facetas del mundo. Son las ganas y el amor mas que el juicio que justifican sus acciones pero tienen matices diferentes: amor cariño, amor filial, amor maternal, pasion, instinti que pide reproduccion...Asi podemos podemos aceptar la vision “natural” muy decente de Paulson. Las mujeres actuan como un revelador, sacan de sus casillas los hombres, tienen una fuerza casi revolucionaria. De tal manera que en sus estudios Paulson categorisa a las mujeres galdosianas estableciendo un jerarquia femenina y creando diferente generos/typos de personalidades: la mujer social, autoritaria, las beatas, las cortesanas y las esclavas. Podemos ver que esta clasificacion recuerda un poquito a las theorias de las humores y transmision genetica que Zola integro en sus libros La fortune des Rougon y Les Rougon Macquart . Pero opino que el deseo de Galdos, no fue como Balzac o Zola, establecer una lista de todas las mujeres como si fueran animales sociales pero mas bien de representar todas la nuancias (con un aspecto poetico) de esas mujeres.

Asi para concluir, podemos decir que la mujer, en las obras de Galdos, parece traer el cambio, el desorden, la confusión pero también y al mismo tiempo lo sublime, la esperanza y la fuerza natural. Elementos que faltaban un poco al estilo naturalista de la época, demasiado escueto. Al fin y al cabo, las diferentes caras femeninas en la obra de Galdós se reúnen para dejar aparecer sinceridad. Asi podemos decir que Galdos ha pintado muchas mujeres para manifiestar o confirmar su orientacion artístico-ideológica que es una mezcla entre lo folklórico tradicional, la figura de la salvaje noble trastornada por la modernidad y en fin la clasica mitológica.




mercredi 5 mai 2010

Le cadeau d’anniversaire
C’est sa fête d’anniversaire, Carmela vient de recevoir un cadeau, et le montre à ses parents, Carmen et Chema.
_ Regarde maman ! Santi m’a offert une tortue…
« C’est ce qui me manquait » pensa Carmen, mais, en arrivant à la maison, son mari alla plus loin.
_ Pas question! Et comme s’il revenait du garage, plein de graisse, Chema ressemblait à une incarnation de démon. Tu n’as qu’à l’offrir. Ou tu la jette dans une mare. Ce qu’il y a à dire… je vous l’ai dis une tonne de fois. Je ne veux pas d’animaux à la maison.
_ Mais si ce n’est pas un animal papa ? Carmela le regardait, l’implorait avec deux grosses larmes tremblantes au bord des yeux. C’est Carlota.
Et comme c’était Carlota, elle resta. Et les premiers jours, Carmela fut une petite fille collée à un terrarium parce qu’elle ne cessa pas de le déplacer d’endroit, jusqu’à ce qu’elle trouva un coin ventilé et chaud, où la tortue pouvait prendre le soleil sans que l’eau ne s‘évapora. Et puis, Carlota était encore un petit tas vert, qui nageait comme une folle désorientée, et qui continuait à ne pas savoir monter sur la côte.
_C’est mignon mais très ennuyeux, jugea José, le frère ainé. C’est pour ça qu’il aurait été mieux d’avoir un chien.
Mais c’était Carlota, et c’était comme ça, et maintenant qu’elle était ici, il fallait lui changer l’eau, et lui donner à manger. Pour cela, Carmen assuma cette responsabilité, en plus des autres, tant mécaniques que quotidiennes, comme préparer le petit déjeuner. Et pendant que le café montait, et que le grille-pain sautait, elle s’accoutuma à la prendre, à la laisser trainer un moment sur le sol, à lui donner de l’eau propre et suffisamment de nourriture.
Et Carlota grandit. Elle apprit à tenir la nourriture avec sa patte pour l’avaler lentement, et à lever la tête avec les yeux bien ouverts quand quelqu’un la regardait. Ainsi, arriva l’été, et ils achetèrent une cage pour l’emmener en vacances. La tortue se sentit bien en voyage, et Chema aima bien s’occuper d’elle la nuit.
_ Regardez ! S’exclama-t-il au milieu du mois d’août. Elle a apprit à manger dans ma main, c’est incroyable.
C’est pourquoi ce qui vient de se passer l’affecta lui, plus que personne. Quand il entra dans la cuisine et vit Carlota près de l’eau, avec les pattes très étirées et la tête baissée, morte au milieu d’un liquide malodorant, il ne sut choisir entre la fureur et la tristesse. Carmen dit que quelqu’un avait versé dans le terrarium du café et du Ketchup. Elle sentit ensuite un creux énorme dans l’estomac.
José se mit à pleurer car le coupable devait compter parmi ses amis du collège, qui, ce même après-midi, étaient entrés dans la maison pour goûter après avoir joué au football. Mais il n’eut pas de pleurs comme celles de Carmela, qui s’assit à la table de la cuisine, et cacha sa tête entre ses bras pour pleurer seule, et qui ne consentit pas à se lever d’ici, pas même pour dîner.
Cette nuit, tous ont mal dormit. Les adultes, effrayés, ébranlés par la cruauté insensible d’un enfant de dix ans, incapable de respecter le bonheur simple, et pacifiste d’un animal petit, tranquille, inoffensif.
S’il s’était agit d’un chien, pensa José, avec le sentiment radical de justice propre à son âge, ou d’un chat, il lui aurait donné un bon coup de griffe. Mais la pauvre Carlota ne peut pas se défendre.
Carmela ne peut pas continuer d’y penser. Elle a seulement sept ans, et le mal, la méchanceté absolue, gratuite, ne possède pas d’autre fin. Un autre sujet qui fait mal vient de faire irruption dans son expérience du monde.

Joanna Meunier - Nantes
Le cadeau d'anniversaire

A sa fête d'anniversaire, Carmela vient de recevoir un cadeau et elle le montre à ses parents, Carmen et Chema.

Regarde maman ! Santi m'a offert une tortue...
«C'est bien ce qui me manquait» pensa Carmen, mais en arrivant à la maison, son mari alla plus loin.
Pas question ! - Et comme s'il revenait du garage, plein de graisse, Chema était pareil à une incarnation du démon. Tu n'auras qu'a la donner. Ou tu la jettera dans une mare, autrement dit… Je vous l'ai déjà dit une tonne de fois. Je ne veut pas d'animal dans la maison.
Mais si ce n'est pas un animal, papa ! - Carmela le regardait , l'implorait avec deux grosses et tremblotantes larmes au bord des yeux. C'est Carlota.
Et comme c'était Carlota, elle resta. Et les premiers jours, Carmela fut une petite fille collée à l'habitat de la tortue, car elle n'arretait de la changer de place dès lors qu'elle rencontrait un recoin aéré et chaud, où la tortue pourrait prendre le soleil sans que l'eau ne s'évaporat. Alors, Carlota était encore un petit tas verdâtre, qui nageait comme une folle désorientée et qui continuait à ne pas savoir comment remonter sur la côte.
C'est mignon, mais très ennuyeux – jugea José, le frêre ainé. Pour cela, il aurait été mieux d'avoir un chien.
Mais c'était Carlota, et c'était ainsi, et maintenant qu'elle était là, il fallait changer son eau et lui donner à manger. Pour cela, Carmen assuma sa responsabilité avec les autres, tant mécaniques et quotidiennes, comme faire le petit déjeuner. Et pendant que le café montait et que le grille-pain sautait, elle s'accoutuma à la prendre, à la laisser gambader un moment sur le sol, à lui donner de l'eau propre et de la nourriture suffisante.
Et Carlota grandit. Elle apprenait a tenir la nourriture avec sa pâte pour la manger lentement, et à lever la tête avec les yeux grands ouverts quand quelqu'un la regardait. Ainsi elle arriva à l'été, et ils achetèrent une cage pour l'emmener en vacances, et la tortue se sentait bien en voyage, et Chema prenait l'habitude de s'occuper d'elle la nuit.
Regardez ! S'exclamait-il mi-août. Elle a apprit à manger dans ma main, c'est incroyable.
Pour cela, ce qui allait arriver l'affecta plus que personne. Quand il entrait dans la cuisine et vu Carlota dans l'eau, avec les pattes très étirées et la tête basse, comme morte au milieu d'un liquide malodorant, il ne sut choisir entre la fureur et la tristesse. Carmen disait que quelqu'un jeter dans l'habitat de la tortue du café et du ketchup. José commencait à pleurer, car le coupable devait être de ses amis de l'école qui, cette même après-midi, était entrer dans la maison, pour goûter après avoir jouer au football. Mais il n'y eu pas de pleurs pareils à ceux de Carmela, qui s'assit à la table de la cuisine et dissimulait sa tête dans ses bras pour pleurer seule, et ne consentait pas à se lever de cet endroit, pas même pour diner.
Cette nuit, tous ont mal dormit. Les adultes, alarmés, agités par la cruauté insensible d'un enfant de dix ans incapable de respecter le bonheur simple et pacifique d'un petit animal, tranquille, innofensif. Si ça avait été un chien, pensa José, avec la justice radical propre à son âge, ou un chat qui leur aurait donner un bon coup de griffe, mais la pauvre Carlota, qui ne pouvait pas se défendre... Carmela n'y pouvait même pas penser. Elle avait seulement 7 ans, et le mal, le mal absolu, gratuit, qui n'avait d'autre fin, d'autre objet que blesser, venait de faire irruption dans son expérience du monde.

Nina Moreau - Nantes
Oublier les mots ?

- Bien, que se passe-t-il ici ? - demanda don Ramón en étirant le col jusqu'au lieu concerné.

Silivia se mis debout et se racla un peu la gorge. Ensuite elle fit un sourire forcé.

- En fait, Verónica dit que, pour elle, les livres et les mots écrits la laissent indifférente, que ce qu'elle aime vraiment c'est la télévision.

- La télévision c'est une invention pour les idiots ! - s'exclama don Ramón avec une certaine véhémence. Ça sert seulement à faire perdre du temps aux gens !

- Á la télévision il y a des programmes superbes – dit Rodrigo Pérez - , des programmes abondant d'images précieuses.

- Regarde, fils : tout ce qui apparaît à la télévision est léger et superficiel. C'est réalisé dans le seul but de te retenir dans ton fauteuil jusqu'à ce qu'arrivent les annonces publicitaires. Il n'y a aucune réflexion, il n'y a aucune intention d'aller au fond des choses.

- Parfois il y a de bons films ! - dit Vérónica.

- D'accord, parfois ils passent de bons films, mais cela c'est du cinéma, le cinéma qui passe à la télévision. Et c'est mieux de regarder du cinéma dans une grande salle.

- De toute façon … - commença Mario avec une certaine difficulté – si ce qui nous plaît à tous sont les images, le cinéma et la télévision, peut-être c'est parce nous sommes fatigués des mots.

- Nous sommes ? - demanda don Ramón commençant à être irrité. Á qui te réfères-tu avec ce « nous sommes » ?

- Et bien à nous , à la population jeune, à la population des collèges, des institutions – dit Mario. Peut-être que le mot n'a plus d'utilité. Peut-être… - il s'interrompit un instant et se mordit les lèvres comme s'il était sur le point de dire une énormité - , peut-être, tout ces livres d'études sont passées de mode et on devrait enseigner les choses d'une autre manière...

Le garçon s'interrompit un instant. La classe entière était pendu à son discours.

- D'une autre manière ? De quelle manière, Mario ? - demanda don Ramón.

- Je ne sais pas, avec … des images. Peut-être devrait-on enseigner avec des images, comme le cinéma et la télévision. Peut-être devrait-on... -il s'éclaircit la gorge - , devrait-on oublier les mots.

- Oublier les mots ? - rugit don Ramón.

Don Ramón se passa la main dans la barbe pour terminer par se pincer fortement la lèvre inférieure, comme s'il désirer fortement se l'arracher. Mario était un élève désastreux, pour tenir la rare habilité de le mettre hors de soi.

- Regarde, Mario – commença-t-il -, le mot est précisément ce qui fait de nous des hommes, ce qui nous différencie des singes, des porcs, des chevaux. Sans le mot nous ne sommes rien, ni même un des ces esclaves en pagnes qui vivent dans la forêt, parce que même eux communiquent entre eux avec des mots et pensent avec des mots et font des plans pour aller chasser et pour construire leurs maisons avec des mots.

- Bien, je n'ait pas dit que... - commença Mario, mais don Ramón fit comme s'il ne l'avait pas entendu.

Jesús Carazo, El mal de Gutenberg, 2002

Celia Schwanengel - Nantes